Gender violences inside the couple (practicing the gender) seem to be in line with the common psychic experiences of the partners, to this original fantasy “one kills a woman“, which is all the more active as the rejection of the feminine is strong, for both the author as for the victim.
Les violences de genre au sein du couple (dans la pratique du genre) semblent être à la mesure des expériences psychiques communes des partenaires dans ce fantasme originaire « On tue une femme » qui est d’autant plus actif que le refus du féminin est présent tant pour l’homme auteur que pour la femme victime.
Marie-José Grihom, « Crime de genre et fantasme féminicide. À propos du fantasme « On tue une femme » » in On tue une femme, Hermann, Paris, 2019, p.427