T.

The pousse-à-la-femme by Jacques Lacan

I could here, by developing the inscription I have made through a hyperbolic function, of Schreber‘s psychosis, demonstrate the sardonic effect of the push-to-the-woman (pousse-à-la-femme) that is identified of the first quantifier: having made it clear that it is from the irruption of A-father as without reason, that the effect felt as of forcing is precipitated here, in the field of an Other to be thought as to every sense the most estranged.


Je pourrais ici, à développer l’inscription que j’ai faite par une fonction hyperbolique, de la psychose de Schreber, y démontrer dans ce qu’il a de sardonique l’effet de pousse-à-la-femme qui se spécifie du premier quanteur: ayant bien précisé que c’est de l’irruption d’Un-père comme sans raison, que se précipite ici l’effet ressenti comme de forçage, au champ d’un Autre à se penser comme à tout sens le plus étranger.

Jaques Lacan, “L’étourdit” in Autres écrits (14 juillet 1972), Seuil, Paris, 2001, p.466

S.

Shame is an affect of the death by David Bernard

Shame is an affect of the death, which means the affect of a parlêtre. It is an effect of the fact that man is condemned to inhabit language, with his body. A body without reason of being, a body marked by its “scars “*.

La honte est un affect de la mort, c’est à dire l’affect d’un parlêtre. Elle est un effet de ce que l’homme soit condamné à habiter le langage, avec son corps. Un corps sans raison d’être, un corps marqué par ses “cicatrices”*.

David BernardLacan et la honte – de la honte à l’ontologieEditions nouvelles du Champ lacanien, Paris, 2019, p. 132

*Jacques Lacan, “La logique du fantasme, Compte rendu du Séminaire 1966-1967” in Autres Ecrits, Paris, Seuil, 2001, p. 327

L.

Lacan : “Knowledge affects the body” by David Bernard

The knowledge, that is to say what? Let’s say it too quickly, all these causes of affect so far noted: representations, words, thought, signifiers, and what in Encore will be redefined, with other consequences, as lalangue. Then after the axiom, comes the question: “Knowledge as such affects without doubt. But what? This is the question where we are mistaken “. Lacan will thus say what affect is not, before saying what it is. The whole thing can be summed up in a few words: knowledge affects neither the subject, nor the soul of this subject. But it affects the body of this subject, which is a parlêtre. “I say that knowledge affects the body of the being who only makes himself a being of words, this to fragment his jouissance, to cut it up until it produces the falls of which I keep the (a), to read objet petit a, or abjet, what will be said when I will be dead, the time when at last I will be heard, or the (a)primary cause of his desire “**.

Le savoir, c’est à dire quoi ? Disons-le trop vite, toutes ces causes de l’affect jusqu’ici relevées : des représentations, des mots, une pensée ,des signifiants, et ce qui dans Encore sera redéfini, avec d’autres conséquences, comme lalangue*. Puis après l’axiome, vient la question : ” Le savoir comme tel affecte sans doute. Mais quoi ? c’est la question où l’on se trompe”*. Lacan dira donc ce que n’est pas l’affect, avant que de dire ce qu’il est. Le tout tenant en peu de mots : le savoir n’affecte ni le sujet, ni l’âme de ce sujet. Mais il affecte le corps de ce sujet, qui est un parlêtre. ” Je dis moi que le savoir affecte le corps de l’être qui ne se fait être que de paroles, ceci de morceler sa jouissance, de le découper par là jusqu’à en produire les chutes dont je tais le (a), à lire objet petit a, ou bien abjet, ce qui se dira quand je serai mort, temps où enfin l’on m’entendra, ou encore l'(a)cause première de son désir”**

David BernardLacan et la honte – de la honte à l’ontologieEditions nouvelles du Champ lacanien, Paris, 2019, p. 130

Quoting :

*Jacques Lacan, Séminaire Livre XX – Encore, Paris, Seuil, 1975, p. 127

**Jacques Lacan, “… ou pire, Compte rendu du Séminaire 1971-1972” in Autres Ecrits, Paris, Seuil, 2001, p. 550.