No matter the “innocence” of his actions in the loss of the object, the court of the unconscious always judges the melancholic subject guilty.
Quoi qu’il en soit en effet de « l’innocence » de ses actes au regard de la perte de l’objet, le tribunal de l’inconscient juge toujours le sujet mélancolique coupable.
Sigmund Freud, Deuil et mélancolie (1917), PBP, Paris, 2011, p. 61
U.