The decency / modesty, which is not only an affect, but also a subject‘s defense, consists [on the contrary] in the recovery of this castration. The decency / modesty will be worth in this case as phallicized image for the subject. It is here a mode of identification of the being with the imaginary phallus, serving to veil as much as to treat a lack to be tied to a lack to have. Like this little girl suddenly hiding her sex in front of the mirror, decency is a veil posed at the place of castration. And like any veil, it is a phallic veil on which an absence can be painted. Also it is a differential clinic of decency between men and women* that would be then to open, according to the different relation that each one can maintain with the phallus, that the accent is carried on the register of the having or that it is in the register of the being.
La pudeur, qui n’est pas seulement un affect, mais aussi une défense du sujet, consiste [au contraire] dans le recouvrement de cette castration La pudeur vaudra dans ce cas comme image phallicisée pour le sujet. Elle est ici un mode d’identification de l’être au phallus imaginaire, servant à voiler autant qu’à traiter un manque à être noué à un manque à avoir. A l’exemple de cette petite fille cachant soudainement son sexe face au miroir, la pudeur est un voile pose à l’endroit de la castration Et comme tout voile, elle est un voile phallique ce sur quai peut se peindre une absence. Aussi est-ce une clinique différentielle de la pudeur entre hommes et femmes* qui serait alors à ouvrir, selon le rapport différent que chacun peut entretenir avec le phallus, que l’accent soit porté sur le registre de l’avoir ou qu’il le soit dans le registre de l’être.
David Bernard, Lacan et la honte – de la honte à l’ontologie, Editions nouvelles du Champ lacanien, Paris, 2019, p. 31
*Here we propose to the reader to hear the distinction proposed by D. Bernard based on a psychic reality, as he explains it very clearly in the following sentence.tural way, as D. Bernard explane after.