without any suprise, psychoanalysis has always been “wary” of shame because their logics are diametrically opposed: when psychoanalysis “believes” in speech, in the therapeutic effects of bringing to light a truth unheard until now, the absolute priority of the ashamed one regarding the speech is “to face” not to be lost nor to be saved, maintaining the posture at all costs, concealing the secret.
il ne faut pas s’étonner que la psychanalyse se soit toujours « méfiée » de la honte car leurs logiques sont diamétralement opposées : si la psychanalyse « croit » en la parole, aux effets thérapeutiques de la mise au jour d’une vérité jusque-là inouïe, la priorité absolue du honteux quant à la parole est la « face » à ne pas perdre ou à sauver, la posture à conserver coûte que coûte, le secret à dissimuler.
Claude Barazer, « “ Ulysse nu et couvert de boue ” », Revue française de psychanalyse, 2003/5 (Vol. 67), p. 1789-1794.
DOI : 10.3917/rfp.675.1789.
URL : https://www.cairn-int.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2003-5-page-1789.htm