But let’s stop for a moment at this blind girl. What does she mean? And to consider first of all what she is projecting in front of us, doesn’t she seems protected by a kind of sublime figure of modesty/decency ? – Which is based on the fact that, being unable to see herself being seen, she seems sheltered from the only glance able to unveil.
Mais arrêtons-nous un instant à cette fille aveugle. Que veut-elle dire ? Et pour considérer d’abord ce qu’elle projette devant nous, ne semble-t-il pas qu’elle est protégée par une sorte de figure sublime de la pudeur ? – qui s’appuie sur ceci que, de ne pouvoir se voir être vue, elle semble à l’abri du seul regard qui dévoile.
Jacques Lacan, Le Séminaire, Livre VIII, Le transfert, Le Seuil, coll. « Le Champ freudien », 1991, p. 359
Here, Lacan to refers to the Paul Claudel’s masterpiece La Trilogie des Coûfontaine where Pensée is a blind character.