It is that the man in each of his exhibitions in the socialscape, would have to answer for the human figure which he contributes to make exist. A painting that can contravene to ethical requirements. Even when the impropriety in which he finds himself involved by his presence cannot be attributed to him. I do believe we’re unable to understand the shame that can haunt someone who has been treated “like a dog”, as Kafka says about the hero of “Der Process” being slaughtered by his executioners. They have been treated like dogs, they was commited in this attack againt the human figure, attack whic was acted on the social scene, and, as such, they are ashamed. Shame could therefore arise from a debt incumbent on every human with regard to the human figure exposed to the other’s gaze.
C’est que l’homme dans chacune de ses expositions dans le paysage social, devrait répondre de la figure humaine qu’il contribue à faire exister. Une peinture qui peut contrevenir aux exigences éthiques. Même lorsque l’irrégularité dans laquelle il se trouve impliqué par sa présence ne peut lui être imputée. Je crois que nous ne pouvons pas comprendre la honte qui peut hanter quelqu’un qui a été traité “comme un chien”, comme le dit Kafka au sujet du héros de “Der Process” massacré par ses bourreaux. Ils ont été traités comme des chiens, ils ont été commis dans cette attaque contre la figure humaine, attaque qui a été commise sur la scène sociale et, à ce titre, ils ont honte. La honte pourrait donc résulter d’une dette de chaque être humain à l’égard de la figure humaine exposée au regard de l’autre.
Claude BARAZER, « Quand le « propre » fait tache », Le Coq-héron, 2006/1 (no 184), p. 57-67
DOI : 10.3917/cohe.184.67.
URL : https://www.cairn.info/revue-le-coq-heron-2006-1-page-57.htm