Suppressions ways of this common emotion don’t lack. In vain, it seems. Because, by dint of being kept silent or hated, the shameful feeling, as religions under Soviet regime, in life as in books, makes come back. Here is that world around us is similar as a palais des glaces*. Even if you don’t want to look at yourself, others are there to hold up a mirror.
Les moyens ne manquent pas de refouler cette émotion commune. En vain, semble-t-il. Car, à force d’être tu ou honni, le sentiment honteux, à la façon des religions en régime soviétique, dans la vie comme dans les livres, fait retour. C’est que le monde autour de nous est pareil à un palais que des glaces. Même si l’on ne veut pas se regarder, les autres sont là, à vous tendre un miroir.
* We chose to keep the usual french expression which plays on the synonyms “glace” (ice) and “miroir” (mirror). May you have the chance to visit a true Palais des Glaces
Jean-Pierre Martin, La Honte – Réflexion sur la littérature, Le Seuil, Paris, 2016, p. 18