Sexual assault committed by friends, dates, and acquaintances are particularly likely to go unreported. The results support the literature suggesting that there are special inhibitions about reporting sexual assault involving acquaintances. The analyses of reasons suggest that victims are particularly unlikely to report these assaults because of embarrassment and because they think the incidents were too minor or not a crime (in comparison to sexual assaults by strangers). The perception that some of these assaults were too minor to report is consistent with evidence that many victims of what researchers consider acquaintance rape do not consider themselves crime victims (Koss, Gidycz, & Wisniewski, 1987).

Les agressions sexuelles commises par des amis, des connaissances et des “rendez-vous” sont particulièrement susceptibles de ne pas être signalées. Les résultats confirment la littérature suggérant qu’il existe des inhibitions particulières concernant le signalement des agressions sexuelles commises par des connaissances. Les analyses des motifs suggèrent que les victimes sont particulièrement peu enclines à signaler ces agressions en raison de leur gêne et parce qu’elles pensent que les incidents étaient trop mineurs ou ne constituaient pas un crime (par rapport aux agressions sexuelles commises par des étrangers). La perception selon laquelle certaines de ces agressions étaient trop mineures pour être signalées est cohérente avec le fait que de nombreuses victimes de ce que les chercheurs considèrent comme un viol commis par une connaissance, ne se considèrent pas comme des victimes de crime (Koss, Gidycz, & Wisniewski, 1987).

“The Reporting of Domestic Violence and Sexual Assault by Nonstrangers to the Police”
Author(s): Richard B. Felson and Paul-Philippe Paré
Source: Journal of Marriage and Family, Vol. 67, No. 3 (Aug., 2005), pp. 597-610
Published by: National Council on Family Relations
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/3600191

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