I consider abuse distort the features of a patient’s history, when communicating, for any reason whatsoever, be it the best, because it is impossible to know what aspect of the case will retain a reader, who’s judging by itself, and which thus runs him the risk of causing error.
Je considère comme un abus de déformer les traits d’une histoire de malade, lors de sa communication, pour quelque motif que ce soit, fût-il le meilleur, parce qu’il est impossible de savoir quel aspect du cas retiendra un lecteur jugeant par lui-même, et qu’on court ainsi le danger d’induire ce dernier en erreur.
Sigmund Freud, “Communication d’un cas de paranoïa en contradiction avec la théorie psychanalytique” (1915), in Névrose, Psychose et Perversion, PUF, paris, 1973, p.209