As Caillois reminds us a lot of relevance, in terms of such mimetic events, and especially that which we can discuss the function of the eyes, namely the ocelli, it is to understand if they impress – this is a fact they have this effect on the predator or the alleged victim who comes to look at – they impress by their resemblance to the eyes, or if, on the contrary, the eyes are fascinating as their relationship with the form ocelli. In other words, should not we,about that, distinguish the function of the eye of the look ?
This distinctive example, chosen as such – for his community, for his dummy, for its uniqueness – is for us a small demonstration of a function to isolate – that, say the word, of the stain. This example is valuable to us mark the pre-existence in seen of a given-to-see.
Comme le rappelle Caillois avec beaucoup de pertinence, s’agissant de telles manifestations mimétiques, et spécialement de celle qui peut nous évoquer la fonction des yeux, à savoir les ocelles, il s’agit de comprendre s’ils impressionnent – c’est un fait qu’ils ont cet effet sur le prédateur ou la victime présumée qui vient à les regarder – s’ils impressionnent par leur ressemblance avec des yeux, ou si, au contraire, les yeux ne sont fascinants que de la leur relation avec la forme des ocelles. Autrement dit, ne devons nous pas à ce propos distinguer la fonction de l’œil de celle du regard ?
Cet exemple distinctif, choisi comme tel – pour sa localité, pour son factice, pour son caractère exceptionnel – n’est pour nous qu’une petite manifestation d’une fonction à isoler – celle, disons le mot, de la tache. Cet exemple est précieux pour nous marquer la préexistence au vu d’un donné-à-voir.
Jacques Lacan, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse – Séminaire XI (1964), Paris, Points, 1990, p.86