He said that he was going to say a song, well, said François Senecal, tell us two words, the carpenter began and said a song which was devoted to denigrate my father and to laugh at his duplicity. The end of the first verse was: that everything enters and nothing leaves; in the second verse it was said: that Lise has end of force to have always let enter by the same door at the end of nine months it was necessary that somebody leaves. My father said then: let us return we are rather in a position to cry than to sing.
Il dit qu’il allait dire une chanson, eh bien, dit François Senecal, dites-nous en donc deux mots, le menuisier commença et dit une chanson qui s’adonnait à niarguer mon père et a rire de sa duplicité. La fin du premier couplet était : que tout entre et que rien ne sorte; dans le second couplet il était dit: que Lise a fin de force d’avoir toujours laissé entrer par la même porte au bout de neuf mois il fallait bien que quelqu’un sorte. Mon père dit alors : rentrons nous sommes plutôt dans une position de pleurer que de chanter.
Pierre Rivière, présenté par Michel Foucault, “Le Mémoire” in Moi, Pierre Rivière, ayant égorgé ma mère, ma sœur et mon frère… – un cas de parricide au XIXème siècle, Folio Histoire, Paris, 2019, p. 152